Ma recherche s’articule autour du processus de mouvement et s’énonce en termes de Paysage(S), d’ailleurs lointain, mettant en exergue le langage syncopé de la transformation /continuation, l’une entrainant l’autre.

Les longs rouleaux de papiers sur lesquels je peins peuvent atteindre de cinq à dix-sept mètres.

La fragilité du support recense le questionnement de l’Entre d’un déroulé entre l’ici et là-bas, où la ligne d’horizon s’absente, où toute représentation disparait et où surgit, face à l’infini, la persistante transition de l’être.

Rencontre avec l’artiste, samedi 23 novembre à 16h