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Qu’est-ce que je peux faire, je ne sais pas quoi faire.

Qu’est-ce que je peux dire, je ne sais pas quoi dire…

 

Vous parlez du chaos du monde, oui, mais voilà, la réalité dépasse la fiction.

Le 11 septembre 2001, la réalité avait dépassé de très loin tous les scénarios de films catastrophe produits par Hollywood.

Le 7 octobre 2023 nous a rappelé que la barbarie accompagne l’obscurantisme.

En plus de 2000 ans, l’humain n’a fait aucun progrès, à part pour l’omniprésence de la technique.

« Le capitalisme adore nous faire croire que tout va bien »

Le Capitalocène nous emmène vers un Anthropocène dont on ne peut plus douter de son existence.

Au moment où de plus en plus de monde s’accorde sur l’urgence climatique, Les autocrates s’en vont en guerre, ou le sont déjà. Les intégristes de tous bords font régner le chaos.

Le chaos est inhérent à leur existence, on peut mème oser dire qu’il surfe sur le chaos.

C’est en cela que les idées des extrêmes progressent partout en occident.

 La France, l’Europe reculent devant les tracteurs, alors que les vignes meurent entre Collioure et Cerbère.

 Et ça, c’est bien en France que cela se passe, en 2023 on a battu les records de consommation d’énergie fossile.

Et oui, rien ne change… Et les idées de l’extrême droite progresse partout.

On dit depuis longtemps que le « FN pose les bonnes questions, mais n’a pas les bonnes réponses. »

Le libéralisme européen travaille pour les multinationales et ignore l’humain et le lien social.

Je sais, il n’y a rien de bien nouveau dans ce que je vous écris aujourd’hui.

Il est difficile d’être sur tous les fronts.

La résistance commence par le porte-monnaie, on boycotte les supermarchés, les grands groupes, les multinationales.

On achète moins, mais mieux.

On achète directement aux petits producteurs, sur les marchés, dans les magasins fermiers,

Cela permet aux producteurs de vivre décemment tout en préservant l’environnement.

Et plus il y aura de personnes qui vivront mieux, moins il y en aura qui iront rejoindre le camp des extrêmes.

Philippe Cadu

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