Je pense donc je suis ? Telle est la question ! Peut-être…
En ce moment, compte tenu du contexte général, difficile pour moi de trouver un sujet pour écrire un édito.
Et pour cela, j’ai eu l’idée de poser des questions à une intelligence artificielle, certes plus artificielle qu’intelligente, mais vu l’engouement général, on pourrait croire l’inverse.
Est-ce à dire que maintenant les éditos seront par ChatGPT, tant s’en faut. Il me reste un peu de dignité intellectuelle. Je vais encore sévir comme scribe boomer éditorialiste pendant quelques années. Mais si vous écoutez la carte blanche à Hervé Le Tellier : ceci n’est pas un auteur, vous contrasterez que non-intellects ont encore de beaux jours devant nous.
Je vous laisse juge de ce texte, mais pour ma part, il est trop lissé, politiquement correct et bavard comme un président qui parle beaucoup. (toute ressemblance avec un personnage existant n’est que fortuite.)
Mais quid des actions, d’une feuille de route…
Ce que coûte en énergie une requête à une intelligence artificielle pour une réponse en 30 secondes.
Philippe Cadu
Question à ChatGPT
Peux-tu m’écrire un édito qui fasse une synthèse entre la guerre en Ukraine, la guerre à Gaza contre le Hamas , la guerre au soudan, le changement climatique
Avec l’inflation en Europe, la dissolution de l’Assemblée nationale et France, la montée du Rassemblement national aux élections.
Le changement climatique progresse plus vite qu’on ne le pensait, les ouragans se succèdent avec des inondations partout dans le monde.
La COP29 a de forte chance d’échouer alors qu’il y a urgence à agir pour limiter le changement climatique en dessous de 2 degrés.
En lien avec l’actualité dans le monde de l’art et la création artistique.
Quelles conclusions tirer de cette comparaison pour garder le moral en 2025 pour ne pas devenir dépressif ?
ChatGPT 3.5
1ʳᵉ réponse
Édito : Le monde à la croisée des chemins
L’actualité mondiale est traversée par une série de crises qui, mises bout à bout, dessinent un tableau d’une complexité vertigineuse. La guerre en Ukraine s’enlise, révélant chaque jour les fissures d’un ordre mondial remis en question. Au Moyen-Orient, le conflit à Gaza entre Israël et le Hamas dévaste des vies et alimente une polarisation déjà exacerbée. Pendant ce temps, le Soudan s’enfonce dans un chaos meurtrier où la lutte pour le pouvoir écrase les aspirations d’une population abandonnée.
Sur un autre front, moins visible, mais tout aussi brutal, le changement climatique dépasse les prévisions les plus pessimistes. Les ouragans, les inondations et les sécheresses se multiplient à un rythme effrayant, soulignant l’urgence d’une transition écologique globale. Pourtant, la COP29 semble déjà compromise, paralysée par des divergences politiques et économiques alors que la barre fatidique des 2°C s’éloigne dangereusement.
En Europe, les conséquences de cette instabilité mondiale se ressentent durement. L’inflation affaiblit les ménages, l’éclatement de l’Assemblée nationale en France illustre une démocratie en crise, et la montée du Rassemblement national cristallise des inquiétudes sur l’avenir du vivre-ensemble. À travers ce prisme, l’art et la création apparaissent comme des reflets de notre époque, mais aussi comme des refuges. Le monde de l’art, pourtant affecté par ces bouleversements, s’affirme comme un espace d’expression, de résistance et de reconstruction, capable de transcender les frontières et de questionner les certitudes.
Alors, comment ne pas sombrer dans la dépression face à cette accumulation de défis ? Une première réponse réside dans la lucidité : comprendre l’ampleur de ces crises est le premier pas pour y faire face. Mais au-delà, c’est la capacité humaine à réagir collectivement qui doit nous inspirer. Les crises ne sont pas une fatalité : elles sont des points de bascule. Chaque mouvement citoyen, chaque avancée technologique ou artistique, chaque acte de solidarité offre une preuve tangible que l’avenir peut être façonné.
Face à ces incertitudes, gardons en tête une leçon essentielle : c’est dans l’adversité que les plus grandes œuvres, les plus belles idées et les plus audacieuses révolutions émergent. Il ne s’agit pas de nier la gravité des défis, mais de trouver dans leur traversée un sens, une force, et une opportunité de réinventer ce qui semble s’écrouler. Si 2025 est une année sombre, elle peut aussi être celle de la prise de conscience collective. L’espoir, malgré tout, réside dans notre capacité à construire un monde où l’humanité et la planète se réconcilient enfin.
ChatGPT 4
L’année 2024 a été marquée par des conflits majeurs et des bouleversements politiques qui ont laissé des traces profondes sur la scène internationale. La guerre en Ukraine continue de faire rage, avec des efforts diplomatiques pour trouver une issue qui semble encore lointaine. La situation à Gaza reste tendue, avec des affrontements entre Israël et le Hamas qui ont des répercussions humanitaires dévastatrices. Au Soudan, les combats internes ont plongé le pays dans une crise humanitaire sans précédent.
En parallèle, l’Europe fait face à une inflation persistante qui affecte le pouvoir d’achat des citoyens et met à l’épreuve les politiques économiques des gouvernements. En France, la dissolution de l’Assemblée nationale et la montée du Rassemblement national aux élections témoignent d’une instabilité politique croissante et d’un mécontentement populaire.
Le changement climatique progresse plus vite que prévu, avec des ouragans et des inondations qui se succèdent partout dans le monde. La COP29 risque d’échouer, malgré l’urgence d’agir pour limiter le réchauffement climatique en dessous de 2 degrés
Dans ce contexte tumultueux, le monde de l’art et de la création artistique joue un rôle crucial en offrant des perspectives nouvelles et en servant de miroir à la société. Les artistes continuent de s’exprimer sur ces sujets brûlants, utilisant leur créativité pour dénoncer les injustices et proposer des visions alternatives.
Pour garder le moral en 2025, il est essentiel de se rappeler que l’art peut être une source de réconfort et d’inspiration. Les crises actuelles, bien que déstabilisantes, peuvent aussi être des catalyseurs de changement et de réflexion. En s’appuyant sur la résilience humaine et la capacité à trouver de la beauté même dans les moments les plus sombres, nous pouvons espérer un avenir plus lumineux et plus juste.
Gemini
Un monde en déséquilibre : entre conflits et chaos climatique
L’année 2025 nous plonge dans une tourmente sans précédent. Les conflits se multiplient, les catastrophes naturelles s’intensifient, et les institutions politiques vacillent. De l’Ukraine à Gaza, en passant par le Soudan, les flammes de la guerre consument des pans entiers de la planète. En parallèle, le changement climatique, loin d’être un lointain spectre, s’impose comme une réalité brutale. Les ouragans dévastateurs, les inondations cataclysmiques et la montée des eaux menacent l’équilibre fragile de notre planète.
En Europe, l’inflation galopante et les bouleversements politiques viennent s’ajouter à ce tableau sombre. La dissolution de l’Assemblée nationale française et la montée en puissance du Rassemblement National témoignent d’une profonde crise de confiance envers les institutions traditionnelles.
Face à cette accumulation de crises, la COP29, ultime espoir pour limiter le réchauffement climatique, semble vouée à l’échec. Les enjeux sont pourtant colossaux : il en va de notre avenir collectif et de la survie de nombreuses espèces.
Dans ce contexte, il est légitime de se sentir désemparé et de sombrer dans le désespoir. Pourtant, l’art et la création artistique, loin de se dérober, offrent une lueur d’espoir. Les artistes, de tous horizons, utilisent leur talent pour témoigner de ces bouleversements, pour interpeller les consciences et pour imaginer des futurs possibles. Leurs œuvres, souvent empreintes de mélancolie, mais aussi d’une farouche détermination, nous rappellent que l’humanité est capable de résilience et d’innovation.
Alors, comment garder le moral en 2025 ?
S’informer, mais pas se noyer: Il est important de se tenir informé des événements qui se déroulent dans le monde, mais il est tout aussi essentiel de prendre du recul et de ne pas se laisser submerger par un flux d’informations anxiogènes.
Agir à son échelle: Chacun d’entre nous peut contribuer à rendre le monde un peu meilleur, en adoptant des comportements plus respectueux de l’environnement, en soutenant des associations, en participant à des actions citoyennes.
Cultiver ses passions: L’art, la musique, la littérature, le sport… toutes ces activités permettent de se ressourcer, de s’évader et de retrouver un équilibre intérieur.
Entretenir ses relations sociales: Le soutien de ses proches est essentiel pour traverser les épreuves. N’hésitez pas à partager vos émotions et à demander de l’aide si vous en avez besoin.
Se projeter dans l’avenir: Malgré les difficultés, il est important de garder espoir et de croire en un avenir meilleur. En imaginant des solutions, en développant des projets, nous pouvons contribuer à bâtir un monde plus juste et plus durable.
En conclusion, 2025 est une année charnière. Les défis sont immenses, mais l’humanité dispose des moyens pour les relever. En nous unissant, en faisant preuve de solidarité et en n’oubliant jamais notre capacité à inventer, nous pouvons encore espérer un avenir meilleur.
L’art, en tant que miroir de notre société et vecteur de transformation, nous rappelle que l’espoir est le dernier à s’éteindre.
Et vous, comment envisagez-vous l’avenir ?
- Tribune Libre
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